Extermination des ânes par les chinois
Exportation de peaux d’ânes : les Chinois menacent l’espèce asine au Burkina
Décidément nos amis chinois ne se reposent jamais! Comme si :
Perpétuer le massacre des éléphants pour leur ivoire et celui des rhinocéros pour leur corne, distribuer des médicaments dangereux pour la santé, submerger les pays africains avec des produits de mauvaise qualité et dangereux pour la population, piller les ressources naturelles de l'Afrique, polluer l'environnement, détruire des emplois, ne leur suffisaient pas. Ils s'attaquent maintenant à l'éradication de l'âne africain.
Quand ces destructeurs s'arrêteront ils ? Quand ils auront détruit l'Afrique ?
Pour ces voyous sans foi ni loi, seul l'argent compte!
Les chinois menacent l'espèce asine
Les chinois veulent la peau des ânes du Burkina
Même le très sérieux Le Monde s'en indigne
La Chine a un avantage : elle n'a pas à porter le fardeau de la culpabilité, vestige de la colonisation et soigneusement entretenu par nos dirigeants...Le sanglot de l'homme blanc. Ses saloperies, elle les a faites ailleurs et n'en a aucun remord. Elle peut se permettre encore longtemps ses agissements, profitant de la pauvreté et du laxisme législatif des pays en voie de développement... Le bouc émissaire est tout trouvé et encore pour longtemps,... très longtemps.
Longue vie à la grande amitié Sino-africaine, à la Chinafrique, aux pillages et autres destructions impunis. Et comme les Chinois sont de grands commerçants, je reprendrai le slogan bien connu des supermarchés (injonction putassière à l’achat et à la consommation à outrance):
"Tout doit disparaitre" (Eléphants, rhinocéros, pangolins, ânes,..absolument tout.)
Extrait du journal Le Monde :
"Ecorchés vifs
C’est donc vers l’Afrique que la Chine s’est tournée pour s’approvisionner illégalement en peaux et en viande d’âne. Dans des proportions telles que l’ONG Donkey Sanctuary (« sanctuaire pour les ânes ») tire la sonnette d’alarme. Dans un rapport publié au début de l’année, elle appelle à l’interdiction de ce commerce sous peine de voir disparaitre le quadrupède africain comme ont quasiment disparu avant lui de nombreuses espèces animales. L’ONG pointe aussi la cruauté dont le mammifère est victime. Sur les plaines du continent, des gangs déciment des troupeaux entiers. Les carcasses sont dépecées sur place, les peaux, arrachées et revendues à des commerçants chinois.
Selon la Société de prévention contre la cruauté animale (SPCA) d’Afrique du Sud les animaux sont en général volés aux fermiers puis battus à mort à coups de marteau, et parfois écorchés vifs."
Le monde