Le génocide vendéen
Avertissement : Lorsque je parle des 'Bleus', ce ne sont pas des Dembélé, Mbappé, Benzema, Dubois (Ah! tiens Dubois? Ca doit être une erreur) mais de la soldatesque républicaine responsable de nombreux crimes de guerre.
Hier ou avant hier, ça n'a pas d'importance, le président Legay nous a gratifié de ses banalités habituelles de cabotin. Alors qu'il n' y a que quelques mois, il traitait les non-vaccinés de non-citoyens et qu'à la Convention, pardon à l'Assemblée Nationale, ces mêmes citoyens étaient traités d'assassins, de criminels, d'idiots, nous avons maintenant droit à un pamphlet patriotique sur l'unité de la nation. Il faut défendre notre culture, nos valeurs,....enfin tout ce qu'il a renié dans sa volonté mondialiste de déconstruction de nos valeurs millénaires. Il me fait penser à ces ventilateurs que nous utilisons en Afrique qui font du vent mais qui s'orientent aussi dans toutes les directions pour essayer de refroidir la totalité de la pièce, généralement sans succès. Par contre, il peuvent fonctionner 24H/24 et ne jamais tomber en panne...Si on peut appeler ça un avantage en ce qui nous concerne.
Ca me rappelle une citation de François 1er :« Souvent femme varie, bien fol qui s'y fie »
Et justement, je souhaitais revenir sur notre histoire commune, celle qui fit la nation Française et la République.
Cela semble être un détail de l'histoire, puisque personne n'en parle et que les politiques essayent d'étouffer l'affaire. Il s'agit du Génocide Vendéen.
Dans la suite de l'article, vous verrez que 'les bleus' ont inventé les fours crématoires, les tanneries de peaux humaines, l'extermination de masse par des méthode toujours plus ingénieuses (Noyades de Nantes, de Savenay), les camps de concentration (Ponton de Rochefort,...) ect, ect...
Il y eu aussi plusieurs dizaines d'Oradours sur Glane, la plus connue : Les Lucs sur Boulogne (564 morts)
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Vitrail de l'église des Lucs-sur-Boulogne, réalisé par Lux Fournier en 1941.
Par contre, nous n'avons pas de témoignage concernant les essais médicaux sur des prisonniers, cela viendra plus tard dans l'histoire de la République.
"La révolution Française et la guerre de Vendée sont la preuve que de grands crimes peuvent être commis au nom de l'antireligieux, de l'humanisme, de la tolérance. Très vite le langage humaniste se transforme en langage d'éradication, d'extermination" : Dr Ian Crowe, Brewton-Parker College.
«La France n'a pas commis de crime contre l'humanité [...], la France n'a pas cédé à la passion totalitaire [...], la France n'a pas commis de génocide.» : Paul Bismuth. Caen 9 Mars 2007.
Note : Paul Bismuth est le nom de code d'un ancien président Français connu pour sa grande culture acquise lors de la fréquentation assidue de la compagnie Disney et d'une saltimbanque nommée Carla.
Visiblement, Disneyland n'a encore fait aucun spectacle traitant du Génocide Vendéen et des colonnes infernales. En effet, comme Mr Bismuth a l'habitude de faire sa culture historique à Disneyland, il ne pouvait donc pas être au courant. Nous en attendons une version 'Woke' avec, dans le rôle de Robespierre, un trans black de 110 kg.
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Si, si avec la perruque blanche, les bigoudis et la poudre, ça le fait
LA VENDEE MILITAIRE
J'ai vécu la première partie de ma vie dans la région Bressuire, Cholet, Saumur, Thouars, Loudun, donc dans une partie de la région que l'on appelle la Vendée militaire, je suis ensuite parti étudier à Rennes. Dans la région de Bressuire, Cholet, les traces de cette triste période de la république sont encore visibles.

Un de mes ancêtres par alliance, Antoine Auriel Constant, bien que résident dans le Périgord noir fut exilé sur les Pontons de Rochefort où il mourut quelques temps plus tard. Bien que non Vendéen, il fut aussi victime du 'camps du bien' de l'époque. Son crime : En temps que vicaire du curé de Calviac, il avait refusé de prêter serment à la constitution civile. Il fut donc considéré par la république comme un non-citoyen.
(Les pontons étaient d'anciens navires négriers. Un témoin raconte qu'à l'époque, lorsqu'on désinfectait le bateau en brûlant du goudron, on faisait sortir les Noirs car ils étaient monnayables. Ensuite, lorsqu'il s'agissait des prisonniers vendéens, on ne prenait pas la peine de les faire sortir).
A noter qu'il avait été dénoncé quelques temps auparavant par un 'lanceur d'alerte'.
« Ces hommes étaient rayés du livre de la République, on m'avait dit de les faire mourir sans bruit… » : confiera plus tard le Capitaine Laly du Ponton "Les 2 associés" où mon ancêtre fut interné et tué par la république.
Non-citoyen, lanceur d'alerte, refus du blasphème... Sans commentaire.
LES CAUSES DE LA GUERRE DE VENDEE
* L’élément déclencheur de l’insurrection vendéenne est sans nul doute la levée en masse de 300 000 hommes décrétée par la Convention girondine le 23 février 1793.
* Dans ces provinces essentiellement rurales, la population souffre du renchérissement des denrées, qui contribue à la recrudescence de la misère. En effet, en février 1793, les assignats ont déjà perdu la moitié de leur valeur, et l’écart entre le coût de la vie et la rémunération du travail s’est considérablement creusé. À l’inverse, les bourgeois des villes et des gros bourgs se sont beaucoup enrichis dans le commerce des assignats. Composée de négociants, de juges, d’avocats, de fonctionnaires de l’État et de propriétaires, cette bourgeoisie hétéroclite détient le pouvoir économique et politique et, dans l’ensemble, a adhéré aux idées de la Révolution. Les paysans bretons et vendéens sont beaucoup plus hostiles à ces patriotes nouveaux riches qu’à leurs anciens seigneurs. Tiens, tiens, ça me rappelle quelque chose tout ça.
* La Constitution civile du clergé, adoptée par l’Assemblée constituante le 12 juillet 1790, suscite une franche hostilité en Bretagne et en Vendée : plus de 80 % des prêtres refusent de jurer fidélité à leur nouveau statut, et l’arrestation de nombre de ces prêtres réfractaires aggrave les tensions. Ce fut le cas de mon aieul.
LES VENDEENS ET LEURS GENOCIDAIRES
Gentilhomme 'poudré' de l'époque. Anonyme (Internet). On remarquera l'arrogance qui se dégage du personnage.
Ce qui suit est un hommage à tous les hommes de grand courage qui se battirent et moururent pour la liberté dans un monde en pleine déconstruction. N'oublions pas que si la révolution fut initiée par des paysans et des ouvriers, elle continua sous l'ordre de bourgeois 'poudrés' . Henry Heller, The Bourgeois Révolution in France, 1789-1815.
Aout 1793
La convention ordonne l'anéantissement de la Vendée. (La Convention est en quelque sorte l'ancêtre de l'Assemblée Nationale)
BARRERE DE VIEUZAC annonce alors :
"Ici, le Comité, d’après votre autorisation, a préparé des mesures qui tendent à exterminer cette race rebelle, à faire disparaître leurs repaires, à incendier leurs forêts, à couper leur récoltes et à les combattre autant par des ouvriers et des pionniers que par des soldats. C’est dans les plaies gangreneuses que la médecine porte le fer et le feu, c’est à Mortagne, à Cholet, à Chemillé que la médecine politique doit employer les mêmes moyens et les mêmes remèdes".
Encore à notre époque, on remarquera qu'à l'Assemblée Nationale, certains orateurs, en parlant d'une partie du peuple Français, sans aller jusqu'à une telle violence extrême, ont fait de très belles envolées lyriques, les traitant de non-citoyens, d'irresponsables, de criminels qu'il fallait enfermer, ect, ect,... On sent bien que l'esprit de la Convention flotte encore dans l'hémicycle chez certains députés.
Le 12 décembre 1793, c’est la défaite au Mans des Vendéens, le 23, ce qui restait de l’armée est massacré à Savenay . Westermann pourra écrire à la Convention:
» …il n’y a plus de Vendée. Elle est morte sous notre sabre libre avec ses femmes et ses enfants, suivant les ordres que vous m’aviez donnés, j’ai écrasé les enfants sous les pieds des chevaux , massacré les femmes qui, au moins pour celles-là, n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher « .
La disparition de l’armée vendéenne n’est pas satisfaisante pour la Convention. Elle ordonne l’anéantissement de tous les habitants de la zone insurgée » il vous est ordonné d’incendier toutes les maisons des rebelles, d’en massacrer tous les habitants « . Le département est rebaptisé Vendée-Vengé…
Janvier 1794
Le Général TURREAU présente à Paris devant les députés de la Convention, un plan d'extermination de la Vendée.
Vingt quatre colonnes vont pénétrer en Vendée avec la consigne de tout brûler et de tout massacrer.
Les horreurs perpétrées par celle-ci leur vaudront dans l'histoire le qualificatif de :
COLONNES INFERNALES
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Turreau : Un criminel de guerre. Le 29 nivôse an II (18 janvier 1794), le général Turreau, commandant en chef de l’armée de l’Ouest, présida un conseil de guerre à Doué-la-Fontaine, près de Saumur. Il y présenta à son état-major le plan qu’il avait établi pour parachever la destruction de la Vendée.
Le 21 Janvier 1794, les colonnes de GRIGNON, TURREAU, CROUZAT, CORDELIER commence leurs massacres dans la région de Cholet.
Les troupes du général Turreau parcourent les terres de Vendée en pratiquant la politique de la terre brûlée, d'où l'épithète de "colonnes infernales", dont les exactions prennent la forme de viols, d'exécutions sommaires et de tortures. Elles ont l'accord implicite de la Convention, qui a voté la "destruction de la Vendée".
Avec plusieurs milliers de prisonniers arrêtés à Savenay, le tribunal est suspendu pour faire place à des exécutions sommaires. On fusille sans procès, avant d'opter pour les noyades : des centaines de personnes sont embarquées sur des barques fermées que l'on coule. 4 800 personnes auraient ainsi rejoint le fond du fleuve. Les même procédés furent aussi utilisés à Nantes.
Parfois on attachait un homme et une femme nus ensemble, lestés avec des pierres puis les 'bleus' les jetaient vivant dans la Loire. Contrairement aux exterminateurs Nazis, les 'Bleus' avaient de l'humour. Ils appelaient cette ignominie, le 'Mariage républicain'
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Les noyades à Nantes sont un épisode de la Terreur qui a eu lieu entre novembre 1793 et février 1794 à Nantes.
On parle réellement d'extermination : Il faut tuer les femmes en tant que génitrices et les enfants qui pourraient être de futurs combattants .
D'après des témoignages de soldats ou d'agents républicains, des femmes et des enfants sont coupés vifs en morceaux ou jetés vivants dans des fours à pain allumés. Ce qui, quelques 150 ans plus tard, donna des idées concernant un autre génocide.
On citera les témoignages des Commissaires républicains Morel et Carpenty à la Convention le 24 mars 1794 :
« A Montournais, aux Epesses el dans plusieurs autres lieux, le général Amey fait allumer les fours et, lorsqu’ils sont bien chauffés, il y jette les femmes et les enfants. » (Jean Dumont, Pourquoi nous ne célébrerons pas 1789, Editions Argé 1987, p7 I). A qui ose le lui reprocher, il répond que « c’est ainsi que la République veut cuire son pain ».
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Concernant le tannage des peaux humaines, :
« Oui, le tannage y est bien une réalité. J’ai montré par les archives que 32 peaux humaines ont été prélevées sur des Vendéens aux Ponts-de-Cé par un chirurgien-soldat républicain du nom de Pequel. Il a commencé à tanner ces peaux mais il n’est pas allé au bout de son œuvre morbide parce qu’il n’a pas eu le temps. Il faut au moins six mois pour tanner une peau et Pequel n’est resté qu’une dizaine de jours aux Ponts-de-Cé. Il est ensuite parti pour Nantes où on n’a plus entendu parler de lui. »
Anne Rolland, maître de conférences à l’Université catholique de l’Ouest à Angers.
Et on a critiqué les Nazis pour un abat-jour.
Dans certains villages 20 à 40 % de la population a été exécutée.
Turreau n’est pas seul coupable. Il partage les responsabilités de ce populicide avec le comité de Salut Public et avec certains de ses généraux. Le comité a validé chacune de ses propositions tandis que certaines colonnes se délectaient de cette sale besogne et commettaient plus d’exactions que Turreau ne le préconisait.
LA REBELLION CACHEE
« La rébellion cachée », le film courageux et très touchant de Daniel Rabourdin, révèle, en une heure et quart, l’histoire d’un massacre de grande dimension. Le massacre de plus de 200.000 Français, en 1794, de paysans, d’ouvriers, de prêtres, de religieuses, des amoureux de la monarchie. Ils étaient Vendéens mais aussi Bretons. Mais les massacres ne se sont pas cantonnés à la seule région ouest de la France. Les républicains commirent des atrocités dans les régions de Lyon, Marseille et Paris. C’est donc ce film, ignoré des grands médias et de la classe politique dans sa presque totalité, qui fut diffusé dans une des salles de l’Assemblée nationale. Incroyable quand on sait que c’est la Convention, l’ancêtre de l’Assemblée nationale, qui décida de l’extermination des Vendéens parce qu’ils se battaient pour défendre leur Roi mais aussi leur foi ! Les preuves matérielles existent. Il suffit juste de les reconnaître… Une injustice considérable Si ce serait un miracle que l’actuelle législature reconnaisse enfin les crimes commis par ceux-là mêmes qui ont voté l’extermination sur cette terre chrétienne qu’était la Vendée, la diffusion d’un film sur le génocide pourrait être un premier pas. Car depuis plus de 220 ans, l’injustice envers les victimes défuntes et ceux qui ont contribué à l’exhumation de cette page de l’histoire de France est considérable. Reynald Secher est l’une d’elles. L’historien et écrivain breton – il est docteur d'État ès lettres et sciences humaines – est le spécialiste français des guerres de Vendée. Auteur de nombreux ouvrages sur le sujet, il fut aussi victime d’un complot manifeste visant à le discréditer et surtout à le priver de sa chaire à l’université. Son combat très courageux qui a démarré il y a plus de 25 ans contre un déni d’Etat, sera peut-être un jour enfin récompensé.
D'après Jean-Clément Martin, qui a analysé les recensements de 1790 et de 1801, un manque d'environ 220 000 à 250 000 habitants est à noter dans l'accroissement démographique normal qu'aurait dû connaître la Vendée sans la guerre civile.
Présentation du film : la rébellion cachée
Extraits de la vidéo de présentation :
"Seriez-vous capables de tout quitter pour l'amour du Ciel? Quatre ans après la révolution Française, les Vendéens l'ont fait".
"Des paysans relativement prospères et chrétiens. C'était comme ça depuis des siècles. Mais la révolution voulue créer l'homme nouveau".
"Il n'y a rien de plus terrifiant qu'un idéologue car il est convaincu de faire ce qui est juste. Peu importe la quantité de preuves que vous lui donnez".
A méditer.
"Ma mie dit que c'est folie d'aller faire la guerre aux Francs
Mais je dis que c'est folie d'être enchaîné plus longtemps." : Gilles Servat - La Blanche Hermine.